Conduire au Zimbabwe peut être très enrichissant, mais cela peut aussi être dangereux. Les choses se sont calmées dans la région, mais il vaut mieux vérifier les dernières informations avant de vous déplacer. Les attractions les plus importantes sont les Chutes Victoria, mais plusieurs attractions de l'industrie touristique du Zimbabwe ont été décimées par les braconniers.
Quels véhicules utiliser ?
Les véhicules à quatre roues motrices sont essentiels hors des villes et assurez-vous d'avoir beaucoup de carburant, de l'eau et un moyen de communication. Seuls les occupants des sièges avant doivent obligatoirement porter une ceinture de sécurité. Dans les voitures de location, tous les occupants doivent porter une ceinture de sécurité.
Boire et conduire
Les lois sur les boissons au Zimbabwe sont très simples mais rigoureuses et un chauffeur ne doit pas dépasser 80 mg d'alcool pour 100 ml de sang. La conduite en état d’ivresse est un gros problème au Zimbabwe et la police est difficile à corrompre dans ces cas. Pour cette raison, nous vous recommandons de ne pas conduire en État d’ivresse et de respecter les limites de vitesse.
Les limites de vitesse pour le Zimbabwe sont les suivantes :
- Routes ouvertes : 120 km / h
- Dans la ville : 60 km / h
Les documents du chauffeur
Pour conduire au Zimbabwe, vous devez avoir votre permis de conduire - un permis de conduire international est requis dans de nombreux cas, mais pas si vous avez l’intention de rester dans le pays pour moins de 90 jours. Il faut fournir également une preuve d'assurance et une copie de votre passeport. Pour conduire au Zimbabwe il faut avoir au moins 16 ans, mais pour la location d'une voiture, il faudra au moins 21 ans et 23 dans la plupart des cas sinon vous devrez payer une amende.
Les règles de la route
Au Zimbabwe la conduite se fait à gauche et la signalisation est en anglais. Vous devez porter deux triangles d'avertissement, un extincteur et avoir deux réflecteurs blancs sur le pare-chocs à l'avant de votre véhicule et deux rouges à l'arrière.
